Un nouveau départ [PV : Djidane]

" Desolation "
Ce mot convenait a la fois au paysage que Djidane avait sous les yeux, mais aussi a sont état d'esprit. A peine arriver sur un petit bateau, perdu dans une mer immense et dans un monde inconnu, que le sort semblait s'acharner sur lui. Après avoir scruté l'horizon, il s'était mi en chemin pour atteindre ce qu'il semblait être une ville portuaire, mais très vite les petites rames dont il se servait n'arrivait plus a luter contre les alléas des courants, aussi derrivat-il plus a l'ouest, vers ce qui semblait être un plateau d'une blancheur alarmante. Il s'aperçu a force de dériver vers cette terre, que la temperature diminuait et compris que le plateau devai être enneigé, et au vu de la taille de celui-ci, Djidane su qu'il n'allai pas passer la prochaine semaine au chaud. Lorsque le bateau echoua sur une légére plaque de givre au bord du continent, il découpa quelque morceau de bois du bateau afin de servir de combustible pour le feu. Se resignant a son sort, Djidane se mit a escalader la falaise qui lui fesait face, et après une longue assention, son regard se porta sur une terre de crystal de glace, de poudre blanche et d'arbre petrifié.

Ne savant ou aller, Djidane prit la direction plein Sud indiquer par sa bousolle, même si il ne trouvait pas de ville ou d'abris, au moin essairait-il de trouver un endroit un peu moin froid. Il s'attendait a rencontrer a tout moment des créatures hostiles ( des cris se fesait entendre au loin ), mais il n'en avait pas peur. Aussi ne fut-il pas surpris, alor qu'il traquait la piste de ce qui semblait-être un lapin, de tomber nez a nez avec une sorte de yéti, armé d'une massue tailée dans la glace. Malgrés la taille et la force supérieur de l'animal, Djidane était confiant : ce n'était pas la première fois qu'il affrontait des monstres plus grands que lui dans une contré de glace, avrait dire celui-la fesait pâle figure. Le yéti renifla l'homme a la queue de singe et leva sa massue d'un geste meurtrier, sa langue bavant abondemment a la vu de la viande qui le toisait avec un sourire. Le reste se passa en 3 geste, rapide et fluide. Djidane parra la massue lui tombant droit sur le crane avec le Point de Croix, découpa comme avec un ciseau la glace constituant la massue et envoyant directement sa dague dans le coeur du monstre.

Après avoir préparé un bon feu, Djidane prépara la viande du Yéti, et confectionna un manteau avec le cuir et la fourrure de la bête. C'est en éguisant l'une de ces dagues qu'il s'aperçu de sa maladresse : une entaille profonde de deux centimétres mutilais le tranchant de la lame. Le froid du métal conjugé a une attaque direct et a pleine puissance sur le tranchant avait entamé la dague, encore deux autres coup dans ces conditions et il devrait s'en séparer. Il parcourus encore une trentaine de kilométre, combattant les monstres rencontrés ça et la avec la seul dague encore intact en sa possésion, et aperçu enfin les lumières rassurante d'une ville.

Malgrès le froid extréme, le village dégagait une chaleur humaine, même si les remparts et les crénaux la fesait plus ressembler a une place militaire. Djidane avait trois objectif : Obtenir le gite et le couvert pour la nuit, en apprendre plus sur le monde ou il avait atterit et faire réparer sa dague par un artisans forgeron. Fesant le tour de la ville, il aperçu plusieurs forgeron dans ce qui semblait être un quartier commerçant. Après avoir questionner plusieur d'entre eux, on lui conseillat un artisans qui pouvait être capable de lui venir en aide. Il repéra l'enseigne : " Aux lames de Gabranth, forgeron " était gravé dans une large plaque de bois.

Le bruit familier du batement du marteau sur le fer, puis le crépitement de la vapeur se fit entendre, indiquant a Djidane que le forgeron était a l'ouvrage. Il appella le forgeron d'un courtois mais ferme :

L'homme était intimidant : Jeune, grand et vétu d'une grande cape remontant en col jusqu'au oreil. Djidane se demanda a quoi il pouvait ressembler, attendant que celui-ci daigne se retourné et lui répondre ...

Le forgeron posa la lame qu'il était entrain de concevoir et se retourna. Ce qui choqua en premier fut le jeune âge du forgeron et son accoutrement, comment diable pouvait-il travailler habbiler ainsi et dans une tel chaleur? Djidane pensa que c'était sans doute l'expérience, et son deuxiéme étonnement fut lorsqu'il regarda son visage, un grand bandeau noir couvrait un de ses yeux. Sa réaction était sans doute visible car le forgeron adopta un sourire amusé. Djidane changea alors d'air, adoptant un masque plus neutre. Le coup d'œil que lui porta le forgeron indiqua qu'il l'évaluait, ce qui était normal dans se genre de pays hostile. Lorsqu'il repondit, se fut d'un ton égal au sien :

- Yep… que puis-je pour vous ?

- Je m'appel Djidane, je ne sais pas trop par ou commencer alors je vous parlerait du plus urgent. Je viens tout juste de ... débarquez par ici et durant un combat face a un Yéti de votre région, le tranchant d'une de mes dagues c'est entailler, du au choc et a la température. J'aimerais vous la confiez et savoir si vous seriez capable de la réparer ...

Djidane ne pouvait pas tout dire a cette inconnu, il ne pouvait pas raconter comment il avait atterrit dans son monde inconnu, dans une barque au beau milieu d'une mer dont il ne connait même pas le nom ! Il commençait même a douter que le forgeron puisse réparé sa dague, car elle était faite dans du mythril, métaux déjà rare dans son monde.

Djidane confiat sa dague au forgeron, et c'est en regardant son oeil qu'il compris qu'il avait a faire a un véritable expert. Son regard parcourait les lignes de la dague, et se perdit pendant un moment, sans doute cela faisait ressurgir une image dans l'esprit de l'homme. Le voleur avait appris a adopter une attitude mystérieuse et a analyser les gens, cela ne lui plaisait guère car il était d'un nature a faire confiance au gens et a être moins froid dans ces échanges. Le tutoiement était son credo, mais dans le cas actuel, il était primordial de passer pour un quelconque voyageur. C'est lorsque le forgeron leva son regard sur lui qu'il comprit : le matériau lui était familier, et son maniement aussi.

Le chef des Tantallas lui avait offert cette dague, les seuls informations qu'il avait pu tiré de celui-ci était que les forgerons capable d'en forgé était très rares, car la création d'un de ces lames est un procédés magique complexe que seul quelque élus ont en eux, et que le pouvoir de la lame viens d'une technique ancienne et était liée au gravure. Bien sur Djidane avait chercher a déchiffré le sens des gravure mais le jeune homme en face de lui semblait en détenir le secret.

- Hummm… du mithril, je n’en ai vu qu’une seul fois. Est-ce que vous avez plus d’information concernant cette dague ? Si vous savez quelque chose à son sujet il serait plus judicieux de m’en faire part. Je me dois de rétablir sa beauté originelle pour qu’elle soit la plus efficace possible.

Le soupçon de Djidane était confirmé, et ce qu'il exigeait de lui était simple : c'était une question de confiance mutuel. Il avait besoin de cette dague, pour se battre et parce qu'elle représentait le seul passé a ses yeux. Si cet homme pouvait lui venir en aide, il n'avait pas a hésiter. Il choisi alors de continuer cette échange, mais il le ferait plus naturellement.

- On dirait que tu ne me laisse pas vraiment le choix. Cette dague ne vient pas d'ici, enfin elle n'a pas été forgée dans ce monde. Ne me demande pas comment, j'ignore moi même la façon dont je suis arriver ici. Je tiens énormément a cette arme, aussi je serait honnête avec toi, et j'espère que tu en fera autant. Ce que je sais de cette dague, je le tien de mon maître d'arme : elle a été forgé par un homme que l'on surnommait Héphaistos, une sorte de magicien spécialisé dans la maîtrise du feu et d'ancienne écriture. Il avait poussé sont art jusqu'à imprégner ces réalisations d'un pouvoir. La lame que tu tien dans ta main ne peut rouiller, ne s'émoussera jamais, maîtrise le vent et, jusqu'à maintenant, était incassable. J'ignore si c'est l'arrivée dans votre monde ou le froid qui a détérioré les inscriptions. Je sais comment la lame a été forgé, tout ce que je veut savoir c'est si tu peu la réparé ...

A la fin son ton de voix était devenu presque suppliant, car le forgeron était le seul homme a qui il avait donner sa confiance depuis son arriver. Il l'avait tutoyé, peut-être que dans ce monde c'était un manque de courtoisie, mais c'était sa façon d'être, il ne la changera pas.